5 février 2008
Coucou depuis l'ascenseur de verre
Mes deux derniers projets de film engloutissent mes week-ends et ce n'est pas de la fatigue, ni du stress, que cela me cause: c'est le bonheur.J'ai l'impression que le muscle de l'imagination, qui s'atrophie au fil de la routine des semaines de travail...