Coucou depuis l'ascenseur de verre
Mes deux derniers projets de film engloutissent mes week-ends et ce n'est pas de la fatigue, ni du stress, que cela me cause: c'est le bonheur.
J'ai l'impression que le muscle de l'imagination, qui s'atrophie au fil de la routine des semaines de travail (relativement) régulier, reprend souplesse et vigueur, se gonfle; pendant mes congés, la petite bulle de rêverie occasionnelle s'amplifie et devient ascenseur de verre... (vous connaissez Roald Dahl, j'espère!)
Et loin de me fatiguer, j'ai l'impression de faire une cure! Qui a écrit que le rêve guérit les blessures subies pendant la veille? Certainement, un génie.
C'est d'ailleurs le message que j'aimerais donner à travers le court-métrage que je prépare pour le projet Pangea.
Et vous, ça va? Je vous embrasse tous.